Huff, Tanya. Vicki Nelson, tome 1. Le pacte du sang

Un hurlement retentit… et les anciens réflexes de Vicki se réveillent. Trop tard : la victime gît, la gorge déchiquetée, tandis qu’une silhouette fuit dans les tunnels sombres du métro. Ancien flic devenue détective privé, Vicki Nelson ne peut s’empêcher d’enquêter sur cette affaire. Mais, plus elle avance, plus elle comprend qu’elle est sur la trace de créatures bien plus dangereuses que tout ce qu’elle a pu affronter.

La série Vicki Nelson était indisponible depuis plusieurs années. J’ai Lu, vu le succès actuel de la littérature vampirique, et de tout ce qui peu être classé dans le genre Bitlit, a donc décidé de relancer la série de Tanya Huff, qui a bénéficié, il y a quelques mois de cela, d’une adaptation TV (stoppée au bout de deux saison) sous le titre de Blood Ties. On y suit donc les pas de l’ex-policière Vicki Nelson, qui découvre peu à peu que le monde dans lequel elle évolué est peuplé de créatures fantastiques : vampires, démons, garous et autres monstres de légende. L’enquêtrice va faire rapidement la connaissance de Henry Fitzroy, un vampire qui se révèle âgé de près de 500 ans et n’est autre que le fils illégitime de Henry VIII d’Angleterre. Ce premier tome voit donc rapidement se former une sorte de triangle amoureux entre l’héroïne, son ancien partenaire et Henry. Les deux prétendants ne connaissent cependant pas pour le moment l’existence l’un de l’autre.

Vampiriquement on est dans un univers assez classique dans le genre, proche de ce qu’on voit habituellement dans les séries Bitlit. Henry est donc un vampire de près de 500 ans qui doit s’abreuver de sang pour survivre (et pour pouvoir faire appel à ses pouvoirs surnaturels comme la guérison rapide ou une force physique surhumaine) et peut évoluer qu’une fois la nuit tombée. Pour créer un autre vampire, il semble par ailleurs qu’il faille vider de son sang la victime avant de lui faire boire le sang d’un vampire.

Ce premier opus nous introduit donc l’univers et les principaux protagonistes (Celluci, Henry et Vicki) à travers une enquête d’emblée marquée par le sceau du fantastique. Le récit n’est pas franchement surprenant (c’est assez conventionnel dans le genre, et on apprend très vite qui sont les gentils et qui sont les méchants), mais se laisse lire agréablement. Pas une des meilleures séries du genre, mais pas une des pires non plus.

Une réponse à Huff, Tanya. Vicki Nelson, tome 1. Le pacte du sang

  1. Ewelf dit :

    On s’attache très vite au personnage de Vicky Nelson qui, suite à des soucis de santé quitte son post dans la police pour travailler à son compte comme détective privée. L’histoire se lit très facilement par son intrigue simple et très peu surprenante.
    On en attend un peu plus de Vicky dans le prochaine tome. On est un peu deçu du personnage que l’on aimerait plus affirmé.
    Et le trio Victotia, Henry et Mike Celluci porte ici l’histoire. Ces personnages formeront-ils un triangle amoureux? C’est ce que cette série pourra nous faire décourvir dans les prochains tomes.

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