Lewis, J.F. Void City, tome 2. Pour le vampire et le meilleur.

Éric a perdu son club de striptease, sa Mustang, et Marylin, son grand amour. Même son corps a été désagrégé. Et lorsqu’il parvient enfin à réintégrer son enveloppe charnelle, un nouveau défi se présente : pour sauver l’âme de Marylin, prisonnière d’un puissant démon, Éric va devoir affronter son pire cauchemar, la jet-set vamp, et découvrir l’origine de ses étranges pouvoirs. Quant à Tabitha, elle commence à se lasser de cette bande de pompeux hypocrites, et hésite à rejoindre la camp d’Éric… si Rachel, sa propre sœur, ne la tue pas avant !

Nous retrouvons Eric complètement désintégré après l’explosion de son club de striptease. Tout vampire serait complètement annihilé après une telle explosion mais pas Éric. Il comprend qu’il n’est pas qu’un simple vampire mais qu’il possède des facultés grandissantes. Malheureusement ces nouvelles facultés ne sont pas forcément très facilement contrôlable. Il n’a plus qu’à espérer que ces pouvoirs répondent présents quant il en a besoin. Heureusement que ses amis sont là pour le guider et l’aider. Comme Talbot, le mistigri qui l’accompagne, se dévoilera dans ce tome et se montrera très utile…

J.F. Lewis a développé tout un aspect vampirique à multiples variations et facettes. Il n’y a pas un seul et unique type de vampire mais une multitude de capacités et d’aspects. Les vampires sont plus ou moins puissants et cela dès leur naissance. Ils ont la capacité de se transformer en animal qui diffère d’un vampire à l’autre. D’autres peuvent se transformer en brume ou en spectre. Tabitha en plus de savoir que côté puissance elle assure. Elle se rend compte qu’elle dispose de certaines facultés lui permettant de simuler battements de cœur, chaleur, sueur et autres fluides corporels !

Après avoir eu un premier tome un peu lourd à lire, tellement les informations étaient nombreuses à intégrer et un personnage principal difficile à cerner. Nous voici avec un deuxième tome tout aussi fourni en informations mais plus fluide et moins brouillons. On apprend à côtoyer cet antihéros qu’est Éric. On s’amuse de ses pertes de mémoires et de ses sautes d’humeurs. Il nous paraissait égoïste, irrévérencieux et méchant avec ses proches. Dans ce nouvel opus, on le découvre sous un nouveau jour, on s’intéresse plus à son quotidien et donc à toutes les aventures qui l’accompagnent. Une lecture agréable et une envie d’en connaître plus, notamment sur Talbot, le mistigri.

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